Fluctuat nec mergitur

Entendu pour la première fois cette année le coucou répéter son écho rigolo ce matin et vu les nouvelles hirondelles grimper haut dans le ciel. sen courant ascendant, signes d’un printemps installé comme chez lui sur la terre de Chalosse. Loin du tumulte humide de la, Foire au jambon à Bayonne. À mille lieues du fracas des frappes mortelles de Gaza. À des milliers de kilomètres du déluge de fer et de feu qui meurtrit toujours le Donbass.

Dans ce décor de verts tendres au rythme.de pas matinaux dans la douceur de l’air j’ai voulu malgré tout croire aux vertus du Tout Monde d’Edouard Glissant. J’ai pensé aussi au Blowin in the wind du Dylan de mes quinze ans…

Fluctuat nec mercgitur

Robert Latxague

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